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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 01:59
Depuis le temps que je l'avais promis celui-ci...
C'est toujours le problème quand on fait une promesse : ne pas s'y tenir donne mauvaise conscience. Bon moi de ce coté je suis plutôt tranquille évidemment, mais par conformisme je m'étais presque monté la tête. Et puis avec le manque de verve que j'ai en ce moment, j'avais peur de ne pas être à la hauteur du sujet auquel je m'attaque.

Alors donc D&CO. Merveilleuse émission du PAF qui permet chaque semaine à M6 de venir défoncer le cul d'un appartement français qui n'avait rien demandé.

Bon au cas où, je rappelle le principe : c'est l'histoire d'une famille française qui en a marre de ses commodes Louis XVI et ses lustres Versailles et qui rêve d'avoir un intérieur meublé comme le Loft ou les dortoirs de la Star Academy. Mais comme la famille a peur de faire une faute de goût, elle fait appel à des compétences externes, en la personne de Valérie Damidot (une ex-journaliste de Loft Story et Star Academy, donc une vraie pro).

Bon déjà si j'étais la famille, quand je verrais débarquer Valérie chez moi, j'hésiterais à lui laisser les clés. Parce que confier la déco de sa maison à quelqu'un habillé comme elle, c'est un peu comme accepter de se faire opérer par Gilbert Montagné : tu veux bien faire du social, mais y'a des limites. Cependant, en général ca ne refroidit pas trop la famille. Même que dans certaines émissions, ils ont le sourire.

Donc là, Valoche fait le tour du propriétaire en demandant à chaque membre de la famille ce qu'il veut. Enfin surtout à la mère et aux gosses en fait. Les gosses parce que bon, ce sont des enfants, c'est trop mignon, il faut les rendre heureux ces bouts d'choux, et la mère parce que ben oh, on va pas s'emmerder avec les mecs quand même. Enfin pas de regret à avoir messieurs, votre baraque sera verte et marron quoi qu'il arrive.

Arrivé à ce stade de la description, il est nécessaire de recoller avec la ligne éditoriale de ce déversoir malsain, à savoir la facilité. Faisons donc un peu de psychologie de comptoir. En toile de fond (oui, je vais parsemer mon récit de jeux de mots relatifs à la décoration d'intérieur. Je commence soft avec "toile", mais accrochez-vous, on va descendre), en toile de fond de cette émission donc, s'étale une misandrie lancinante à peine camouflée par la pourtant obstruante Valou. Pourquoi donc ? Rappelons qu'il y a quelques mois, la pulpeuse Valette venait raconter chez Fogiel son lourd passé (femme humiliée, battue). On comprend, et on pardonne, qu'elle puisse maintenant s'être blindée dans un personnage souriant et prétendument sûr de lui-même. Manque de pot (de peinture (j'avais prévenu)), je trouve ce genre de personnages profondément énervant et détestable. Le problème de ces gens retranchés derrière un mur d'apparat est qu'ils sont totalement incapables de se remettre en question. Après avoir été dénigrés sans relâche pendant des années, ils ne peuvent réagir autrement que par une fermeture totale à toute forme d'influence, y compris la discussion. Je me souviens de ma promo d'école d'ingénieur dans laquelle, parmi les geeks boutonneux, les geeks aux cheveux gras et les geeks boutonneux aux cheveux gras, on trouvait aussi quelques spécimens ayant des idées sur tout et pensant qu'avoir de la personnalité consistait à arriver dans une discussion, poser leurs deux grosses valises d'opinions sur la table et laisser les autres se démerder avec. J'ai toujours eu envie de leur frotter la tête contre un mur crépi (c'est de la décoration d'extérieur, mais ca compte quand même), mais je me suis retenu parce que je suis pacifique, intelligent, au dessus de tout ca, et parce qu'ils étaient baraqués (comme des armoires à glace).

Donc la sexy Valère transpire le mal-être intérieur camouflé derrière le sourire de façade et la haine incontrôlable du genre masculin par tous les trous (leau de scotch). Et celui qui prend le plus, c'est Franck. Le cher Francky, l'aide de camp de Valie. Sa description tient en trois mots : « Le bon copain ». Franckouille c'est le gentil, le docile, le brave, le sexuellement inoffensif, le « je préfère qu'on reste amis ». Et franchement, je ne vois pas qui d'autre qu'un vraiment docile pourrait supporter ce que le top model lui fait subir dans chaque émission. Valoute adore lui confier toutes les merdes et ajouter un petit bout de phrase pour lui rappeler sa condition d'homme.

Maintenant je dois vous avouer quelque chose. J'ai longtemps hésité avant de publier tout ça. Je me disais qu'après tout, notre Valine nationale ne méritait pas cet article. La pauvre, écorchée par la vie, et moi qui tire dessus comme un vautour, blablabla. Bref je me mettais à avoir une conscience... Jusqu'à il y a une heure. Quand j'ai regardé la dernière émission. Et j'y ai vu quelque chose qui m'a définitivement convaincu. On peut excuser sa haine des hommes, son mal-être, même ses mauvais goûts vestimentaires. Mais descendre ses assistantes plus jolies, là non.
Extrait : Valone a besoin d'un sèche-cheveux pour l'une de ses créations d'art moderne. Une fille de la prod le lui apporte gentiment, entre dans le champ de la caméra. La trentaine, décolorée, mince, mignone et souriante. Elle lui donne l'appareil, et la grosse lui répond pour la remercier : « Regardez, elle a mis son sourire des grands jours ». La pauvre fille repart, le sourire crispé, un regard qui veut dire non seulement « Non mais tu t'es vue grosse truie ? » mais aussi, et ca me gène beaucoup plus : « Marre de tes remarques incessantes, va rejeter ton complexe sur quelqu'un d'autre ». Et le regard de cette pauvre stagiaire a tout dévoilé : la façon dont Valérie a transformé son blindage en une force incroyablement malsaine. Comment elle a compris qu'un sourire, un air naïf et un regard de victime pouvait lui ouvrir des portes. Et comment avec quelques phrases bien senties, on pouvait éliminer à moindre frais toutes les rivales qu'on enviait jadis, et qu'au fond on envie encore plus maintenant.

Cherchez bien, vous en connaissez tous. Une petite grosse, ou grande avec un bec de lièvre, ou normale avec un visage ingrat. Même certaines très belles ne sont pas épargnées. Elles se repèrent facilement : elles ont toujours un petit sourire mutin aux lèvres et vous décochent des piques à la moindre perche, surtout si vous n'avez rien demandé. Le genre de fille qui n'existe qu'en rabaissant ses contemporaines, de guère lasse de n'arriver à s'élever à leur niveau. Le genre de fille qui, pour imiter celles qu'elle envie tant, casse les mecs qui ne lui plaise pas avant même qu'ils n'aient témoigné un signe d'attirance pour elle (à force, elle a compris que ce signe ne viendrait jamais...). Les pires d'entre elles sont celles qui ont réussi à épouser un beau mec. Alors là, accrochez-vous à votre égo, car madame, en plus de son blindage en béton armé, possède l'argument d'autorité ultime qui change le béton en titane. Son mari est le faire-valoir de sa personnalité, la preuve de la validité de sa vision, la justification a posteriori de son état mental. Evidemment, ce mari, en plus d'être beau, est totalement introverti et n'a jamais vécu assez pour apprendre les petits trucs qui changent un « tiens, il est mignon lui » en « tiens, prend ma main et ma virginité ». Il croit avoir trouvé la femme parfaite, celle qui, après de nombreuses épreuves, a su se relever et se construire une vraie personnalité. Après quelques années de mariage, et de formatage par sa compagne (la victime devient bourreau), il arrive tout juste à passer pour le mari idéal en société, histoire d'assoir définitivement la victoire écrasante de sa demi-moche.

On va encore dire que je suis méchant, que je n'ai aucune compassion envers mes semblables. Je sens le type qui me harcèle depuis deux semaines (et dont je me procure un plaisir non dissimulé à supprimer les commentaires d'abrutis) prêt à déchainer sa rage grasse et son incapacité à lire entre les lignes. Et pourtant, détrompez-vous chers lecteurs, retenez le dernier bastion de conscience qui persiste à s'accrocher à vous chaque fois que vous venez vous pervertir dans mon antre malsaine. Car non, je ne mets pas dans le même panier toutes les grosses et les femmes esquintées par la vie. Je tire avec d'autant plus de légereté sur ces cas désespérés que j'ai dans mon entourage des moches, des grosses, des femmes esquintées par la vie, mais qui pourtant ne répondent à aucun autre des critères décriés ci-dessus. Des femmes merveilleuses qui, au lieu de camoufler leurs tares mal digérées derrière un costume de papier crépon (notez à la fois l'allusion subtile à la décoration et le style Alexandrejardinesque), ont su transformer ces épreuves en une vraie force. Une force qui leur permet aujourd'hui d'être humbles, pleines de compassion. Une force qui leur a permis de développer une intelligence sociale extraordinaire. Une force qui, et c'est le plus important, leur permet d'assumer leur faiblesse. Car au fond, jeunes puceaux boutonneux comme séducteurs à la chaine, vous tous qui lisez ces lignes, avouez-le : excepté sa descente de reins, ce sont toujours les faiblesses d'une femme qui nous font craquer. J'en parlais d'ailleurs l'autre jour à une de mes amies, lui avouant que j'ai commencé à l'apprécier le soir où elle a enfin tombé le bouclier et où j'ai pu découvrir ses faiblesses. Je crois qu'elle n'a pas compris ce qui a bien pu me plaire là-dedans (voyez ca par exemple, c'est une anecdote qui n'apporte rien. Mais comme elle m'a formellement interdit de parler de quoi que ce soit la concernant, après que j'aie fait un récit peu flatteur d'une soirée passée avec elle dans l'un de mes précédents posts, je suis bien obligé de le faire. L'esprit de contradiction sans doute...). Rien de plus exaspérant que ces femmes parfaites en toutes circonstances. Celles qui ont toujours réponse et attitude à tout. La perfection, en plus d'être effrayante, est ennuyeuse. Mesdames, arrêtez de jouer les wonderwomen, et montrez-nous vos faiblesses, vos blessures intérieures, vos failles qu'on puisse se ruer dedans et vous péter le cul.

Mais bref, je divague sur les grosses et j'en oublie la question qui nous intéresse tous, et à laquelle M6 répond plusieurs fois par semaine : comment transformer un intérieur coquet, meublé sans grande prétention mais avec un cachet personnel incontestable, une atmosphère humaine et douillette, en un stand témoin du Bricodéco de Chalon-sur-Saône.

D'abord, se débarasser par tous les moyens (et nous en verrons un merveilleux plus tard) de tout ce qui ressemble de près ou de loin à du bois : meubles, portes, lambris. Bois égal rustique, rustique égal vieux, vieux égal pas bien. Ensuite, repeindre. Le choix de la couleur est crucial, mais pas difficile. Trois possibilités : « chocolat », « prune » et « olive », qu'on traduit dans le langage des mortel par marron, violet et vert. Au passage, allez faire un tour sur un site de vendeur de peinture, juste pour voir les noms des couleurs. Mes préférés restent le « gris loft », le « blanc méditation », le « jaune starlight », le « cuivre trendy », le « rose plénitude » et le « vert ressourçant ». Entre le feng-shui et ces noms, ils nous feraient presque croire qu'on peut avoir un orgasme rien qu'en regardant une cloison. Remarque ca pourrait être drôle, après les films pornos, les films décos :
« - Mais qui sonne à la porte ?
- Bojoureu mâdame, je vieng repèndre le livigueuroume.
- Mais que vois-je dans votre grosse valise ? Ne serais-ce pas un pot de rose plénitude ?
- Tu as bieng deviné, petiteu coquine ! Je m'en vais t'en mettre jusqu'au plafond !
- Oh mon dieu, une goute dégouline le long du pot...
- Ca te plait quand je mets mon gros pinceau ?
- John, vous êtes fou !
- Tu aimes quand je bouche les trous de ton mur porteur ?
- Aaaaahh John, il y en a de partout, je n'en peux plus, je jouiiiiiiiis !!!!!!! »

Je divague. Toujous est-il que dans cette émission, toutes les petites filles aiment les fleurs et veulent devenir princesses, donc une chambre rose ; tous les garçons aiment les voitures ou les avions, donc une chambre bleue, et pour le salon c'est vert et marron. Evidemment, quelques exceptions, comme l'autre jour ou la belle Valérie devait défoncer un appart de midinette. Là elle ne s'est pas pris là tête : du rose partout.

Je vous l'ai dit, l'un des buts de la mission de Laverie, Valérie pardon, est de faire disparaître toute trace de bois. Pour cela, sa technique préférée reste le marouflage. Pensant bêtement qu'un mot aussi laid ne puisse avoir été inventé que par Laverie, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir l'article de Wikipédia lui étant consacré. Inventé il y a plus de 3000 ans, il est devenu un art pur et sophistiqué chez les japonais. Bon avec Boulangerie on fait moins dans la dentelle. Le marouflage façon D&CO, c'est coller du papier peint sur un meuble. De cette manière, n'importe quelle étagère peut aisément passer pour de l'Ikéa fraichement importé. Spaghetti passe donc un bon tiers de l'émission à maroufler à tout va. C'est beau, c'est rose. Evidemment, la tapisserie des meubles se déchirera au moindre heurt, se gondolera à la moindre tasse un peu chaude posée négligemment, et s'écaillera dans deux ans. Mais les caméras seront dans une autre famille française alors qu'importe !

Mais, mais, mais... Que ne serait un intérieur décoré par Salami sans l'accessoire ultime, la touche finale, le détail trendy qui transforme le chef d'oeuvre en miracle : le sticker. Alors déjà, un sticker, en français c'est un autocollant. Autocollant, mot à l'aérodynamisme perdu il y a dix ans, qui rappelle maintenant la collection qu'on a tous fait dans notre enfance sur l'intérieur de la porte de notre armoire. Qui n'a pas eu l'autocollant Orangina, Shell, Coca Cola, Chupa Chups, ou Harley Davinson ? Bref, c'est totalement has-been. Donc, à défaut de modifier le concept, on change le nom. Sticker, un mot anglais beaucoup plus télégénique, parfait pour toutes les petites fées du logis gavées de Cosmopolitain et de Jeune et Jolie. Et on peut dire que Sidonie s'en donne à coeur joie : on ne parle pas ici de simple stickers de 15 par 15 placardés ça et là pour décorer une chambre d'enfant. Ravioli utilise le sticker comme un meuble à part entière. Ambiance africaine ? Elle vous tapisse un mur en stickers bambou. Un dessus de commode un peu vide ? Elle vous colle deux stickers de flamme contre le mur derrière. Au delà du coté cheap frôlant le pathétique, Charcuterie a la facheuse tendance à utiliser les stickers spécialement pour couronner un meuble. Rappelons que « meuble » vient de « mobilier », terme utilisé pour désigner l'ensemble des objets qui voyageaient avec le roi. Eh oui, un meuble, ca peut bouger. Une armoire qui finalement serait mieux dans l'autre pièce, un lit qu'on verrait mieux contre le mur, ou qui s'est lui-même fait la malle (magnifique celui-là) après une nuit agitée... Et on se retrouve avec trois saloperies collées au mur dont on se demande bien ce qu'on va pouvoir faire. Les décoller, c'est prendre le risque de rater l'opération, ou pire : la réussir et avoir des traces de poussières qui adhèrent au restes de colle pour les six prochains mois.

Bon, on pourrait encore en dire tant... les rideaux en fils, les tapis en poils, les gadgets en toc, les lettres en bois peint en imitation métal collées au mur, tant d'idées merveilleuses habitent encore la tête de la belle Sodomie (je vous interdis de faire les choqués, vous m'en auriez voulu si je ne l'avais pas faite). Peut être que ca méritera même un autre article.

En attendant, je vous laisse avec quelques photos, comme pour vous remuer le couteau dans la plaie. Voici les décoratrices des deux émissions plus ou moins homologues outre-atlantique : The Kari Whitman Show et Extreme Makeover: Home Edition.

 
Kari Whitman
 
Tracy McQueen
 
Page Hemmis
 
Tracy Hutson

Pleurez...
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commentaires

M
<br /> <br /> Une levée de chapeau, une hola, une larme à l'oeil.<br /> <br /> <br /> La justesse de l'analyse et le verbe prolixe m'ont rappelé achille talon dans ses plus beaux moment, je suis fan!<br /> <br /> <br /> Je travaillais paisiblement avec la télé en fond quand D&Co a commencé, entrant par une oreille et me ressortant très vite par les yeux, je me suis demandé si j'étais seul à concevoir de<br /> l'humeur en la voyant. J'ai donc tapé "detestable valerie damidot" sur gogole, et j'ai naturellement échoué sur ton blog dont je vais devenir un inconditionnel. Un grand bravo x un grand merci :)<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Tout le plaisir malsain est pour moi...<br /> <br /> <br /> <br />
A
Je te tire mon chapeau !! Je suis sur le c** tellement la justesse des mots est implacable. A tel point que, avec les 3 posts que je viens de lire, je découvre des choses sur moi-même! Tu peux me compter dès aujourd'hui parmi tes lecteurs assidus. Et continue comme ça !
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L
<br /> Eh ben je vous compte alors, ca doit faire deux maintenant !<br /> <br /> Merci pour ces éloges cher Alpha ! Et soyez le bienvenu. Laissez votre conscience au vestiaire, je m'occupe du pourliche. Les boissons et la déchéance sont gratuites chez moi !<br /> <br /> <br />
M
Je n'en attendais pas moins de toi! Dans la série gadgets en toc tu as cependant oublié les incontournables bougies (et oui, il faut bien redonner un semblant de luminosité aux pièces, une fois qu'on a posé du papier peint olive et des rideaux chocolat).Merci!(PS: if { (article == prec) && (commentaire == 4) } check "reponse" where content includes "tendresse": disp "édivemment que oui, pauvre nouille"; )
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L
<br /> Ah oui tiens, les bougies... Ca m'était totalement sorti de la tête. Bon ben tant pis.<br /> <br /> PS : non rien...<br /> <br /> <br />
M
Un mot a dire, juste un mot...WOUAW.Enfin! on le retrouve enfin notre part de l'autre. Je pense que c'est le plus long billet que tu es fait. Et comme on dit...plus c'est long, plus c'est bon.Alors etant a l'etranger, je crois que je n'ai jamais eu le chance de voir cette emission. Ou tout du moins, je l'ai peut-etre vu une demi-fois et je n'ai pas pu faire toute l'analyse psychologique de l'emission et mieux encore, de la presentatrice...Tres interessant, on apprend de la vie de notre cher Laverie.J'ai bien aime le changement de nom que tu lui donnes qui au debut nous semble un peu de pitie. "La pauvre Val, elle fait une emission de merde". Et puis au fur et a mesure on sent ton autre cote qui ressort et les petits surnoms aussi pour aller jusqu'aux magnifiques Laverie ou encore Sodomie. Style tres appreciable.On aime beaucoup aussi les clins d'oeil aux billets precedents..........Maintenant je vais relever les taches sur le col de la chemise...- La date est fausse...ca ne pouvait etre le 7 Mai...Vendredi il n'y etait pas- Seche-cheveuX car en general nous avons plusieurs cheveux ou poil....Il y en a d'autre mais je suis sur que quelqu'un se divertira a les relever
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L
<br /> Pour la date, Over-blog a la facheuse tendance à prendre la date de commencement de l'article. Eh oui, je n'ai pas pondu ca en un seul jet... Enfin c'est corrigé.<br /> Pour la faute, c'est corrigé aussi.<br /> <br /> Pour les compliments, je ne peux que remercier baveusement...<br /> <br /> <br />

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